Traitement de l’alcoolisme en ligne
- Traitement de l’alcoolisme en ligne
Ma consultante a une dissociation personnalité. Elle est perçue d’une manière générale solaire et bienveillante, est manager de transition, aide les gens et en même temps quand elle boit quelque verres d’alcool, elle a des trous noirs. Elle insulte son compagnon, les hommes en général. Sa mère était alcoolique. Son problème de de devenir méchante sous alcool.
Aussi, elle se sent toujours exclu, ne pas appartenir à une communauté et s’intégrer dans des groupes. Elle devient aussi jalouse maladive et dépendante affective. Elle a veillé sur ses parents et personne ne veille sur elle. Après 4 verres, elle tombait comme dans un coma éthylique, son cerveau s’est éteint et elle pleure.
Nous revenons à une fête de Bayonne où on l’avait fait boire trop puis nous libérons la relation à sa mère qui buvait de l’alcool et était dépressive.
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Fermer les yeux et laissez-vous porter par la voix
En posant votre attention sur ma voix, cela va permettre de contourner le facteur critique du conscient qui fait que l’on doute et que l’on juge en permanence et de faire en sorte à ce que le subconscient soit beaucoup plus présent, qui lui est tout le domaine des émotions et des croyances. Des croyances limitantes que l’on va reprogrammer et des émotions bloquées que l’on va accueillir.
Traiter l’alcoolisme est particulièrement difficile pour plusieurs raisons qui sont à la fois physiologiques, psychologiques et sociales. Voici quelques-uns des principaux facteurs qui rendent cette addiction complexe à traiter :
1. La dépendance physique :
L’alcool crée une dépendance physique chez de nombreuses personnes. Lorsque quelqu’un consomme régulièrement de l’alcool, le corps s’adapte à sa présence, et l’absence d’alcool provoque des symptômes de sevrage (tremblements, sueurs, anxiété, nausées, etc.). Ces symptômes peuvent être intenses et parfois dangereux, ce qui rend difficile pour les personnes de se sevrer par elles-mêmes. L’envie de soulager ces symptômes de sevrage peut rendre l’arrêt de l’alcool extrêmement difficile, surtout si le soutien médical n’est pas disponible.
2. L’aspect psychologique :
L’alcoolisme n’est pas seulement une dépendance physique, mais aussi psychologique. De nombreuses personnes boivent pour échapper à des émotions difficiles telles que le stress, l’anxiété, la dépression ou des traumatismes passés. L’alcool devient un moyen de « gérer » ces émotions, et arrêter de boire peut signifier faire face à ces souffrances sans le mécanisme d’évasion qu’apportait l’alcool. Ce processus de confrontation aux émotions peut être effrayant et décourageant.
3. Les déclencheurs sociaux et environnementaux :
L’alcool est largement accepté dans de nombreuses cultures et est souvent présent lors de célébrations, d’événements sociaux ou d’activités quotidiennes. Cela peut rendre difficile pour une personne alcoolique de s’abstenir, car elle se retrouve constamment confrontée à des situations où l’alcool est disponible et où il est attendu. De plus, les pressions sociales, comme le désir de se conformer ou de se sentir accepté dans des groupes, peuvent encourager la consommation d’alcool, rendant l’abstinence encore plus difficile.
4. Les schémas de comportement profondément ancrés :
Les comportements liés à l’alcool sont souvent devenus des habitudes profondément enracinées au fil des années. Ces schémas de consommation peuvent être associés à des moments de plaisir, de détente ou de socialisation, ce qui les rend d’autant plus difficiles à rompre. L’alcool devient lié à des déclencheurs spécifiques dans la vie d’une personne, comme des situations de stress, des émotions de tristesse ou de frustration, et il faut reconstruire de nouveaux schémas pour remplacer ces comportements.
5. La stigmatisation sociale :
L’alcoolisme est souvent perçu négativement par la société, et de nombreuses personnes ressentent une honte ou une culpabilité par rapport à leur consommation d’alcool. Cela peut rendre difficile l’admission de l’addiction et la recherche d’aide. La peur du jugement social et la stigmatisation peuvent empêcher les individus de chercher des solutions et de parler ouvertement de leurs problèmes d’alcool.
6. Les aspects génétiques :
Il existe également des facteurs génétiques qui prédisposent certaines personnes à devenir dépendantes à l’alcool. Des recherches ont montré que des antécédents familiaux d’alcoolisme augmentent le risque de dépendance, ce qui suggère que des prédispositions biologiques peuvent jouer un rôle important dans le développement de l’addiction. Ces facteurs génétiques peuvent rendre l’alcoolisme encore plus difficile à traiter, car la personne est susceptible de ressentir une plus grande impulsion à boire en raison de cette prédisposition biologique.
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